Rencontrez Victoria

Rencontrez Victoria, une des 35 étudiantws à qui nous offrons une bourse d'études complète à l'Académie de football LEAD Monrovia.

Rencontrez Massa

Rencontrez Massa, une des 35 étudiantes à qui nous offrons une bourse d'études complète à l'Académie de football LEAD Monrovia ! 

Rencontrez Prince

Rencontrez Prince, un des 35 étudiants à qui nous offrons une bourse d'études complète à l'Académie de football LEAD Monrovia Monrovia !

Rencontrez Marc

Rencontrez Marc, un des 35 étudiants à qui nous offrons une bourse d'études complète à l'Académie de football LEAD Monrovia Monrovia ! 

L'histoire d'Aminata

Le projet mené par Network4Africa (N4A) à Port Loko, en Sierra Leone, augmente durablement les revenus des personnes atteintes de troubles mentaux ou d'épilepsie, ainsi que de leurs soignants et de leurs familles, en leur fournissant des moyens de subsistance et en les soutenant. Les bénéficiaires reçoivent également des conseils de Conforti, une organisation communautaire bénévole locale qui s'efforce d'améliorer la vie des jeunes. Voici l'histoire d'Aminata.

Le parcours de Béatrice

 Béatrice est une veuve du génocide âgée de 56 ans, originaire du district de Rutsiro, dans la province de l'Ouest. Elle a bénéficié d'une formation complète et d'un développement des compétences, y compris d'une formation à l'entreprenariat dans le cadre du projet dirigé par SURF. Cette formation lui a permis d'acquérir les connaissances et l'expertise nécessaires à la gestion d'une entreprise prospère.

La voix d'un agriculteur

Découvrez l'histoire de Leonard Siabbami, un agriculteur du village de Siamucaala, dans la chefferie de Mweemba. Il a 50 ans et bénéficie du programme de formation des agriculteurs du School Club Zambia.

L’apprentissage électronique est un succès !

Le projet a équipé deux écoles partenaires de ZeduPads (tablettes d'apprentissage électronique), améliorant ainsi la qualité de l'enseignement dans toutes les matières du programme. Lisez ce que les enseignants ont à dire!

Oeufs à vendre !

"Mes revenus ont été améliorés grâce à l'élevage de poulets et cela a réduit les tensions dans ma famille causée par le manque d'argent pendant les périodes difficiles" déclare Ashiko. "Maintenant, nous sommes capables de gérer les périodes difficiles parce qu'il y a au moins de l'argent pour acheter de quoi manger, même si la production agricole n'est pas suffisante."

Soutenir des veuves du genocide

Victorine Mukabadende est une veuve du génocide âgée de 66 ans qui a participé au projet de 18 mois visant à améliorer ses moyens de subsistance, sa résilience psychologique et sa sécurité alimentaire.

Un soutien aux veuves du genocide

Thérèse Uzamukunda est une veuve du génocide âgée de 58 ans qui a participé au projet de 18 mois visant à améliorer ses moyens de subsistance, sa résilience psychologique et sa sécurité alimentaire.

Promouvoir l'accès aux services de santé sexuelle

Voici Denis, 21 ans, de la communauté d'Irbaan à Talek, dans le Maasai Mara. Il est né et a grandi dans le même village et est actuellement inscrit à un programme de certification en informatique au « Youth Friendly Centre » (YFC), car il se prépare à entrer à l'université après avoir terminé ses études secondaires.

Rencontrez Maante

Maante Sumare est une jeune fille de 16 ans du village de Sekenani. Maante étudie à l'école primaire Emarti où elle a été l'une des bénéficiaires de la composante mentorat du projet mené par CHASE Africa.

Rendre autonomes des veuves vulnérables du génocide

Yamfashije Pauline est l'une des bénéficiaires du programme "Empowering Vulnerable Genocide widows in Karongi and Rutsiro Districts to Alleviate Extreme Poverty" (EVKREP) qui a bénéficié de sa participation au projet.

Rencontrez Ruth une infirmière communautaire

Ruth Samsin est une infirmière de santé communautaire agréée du centre de santé de Talek et fait partie du personnel du centre. Elle décrit l'impact que les services de santé sexuelle et natalité du centre ont eu sur des jeunes.

Formation professionnelle agricole

Voici Pergelina Ndongi, 21 ans, qui suit avec succès le cours accrédité par le gouvernement en agriculture de conservation et en irrigation à l'école de formation professionnelle DAPP (DAPP VTS) à Onambelela, dans la région d'Omusati.

Atteindre la sécurité alimentaire grâce au manioc

Lisez le témoignage de Denbesie qui a déclaré : "Le manioc est tellement productif. Le rendement est élevé par petite parcelle de terre, il est simple à cuisiner et facile à stocker. J'ai maintenant assez de réserves pour la famille. Je peux nourrir tout le ménage".

Une véritable entrepreneuse : Sarah

Sarah déclare : "J'ai pu apprendre de bonnes pratiques agricoles grâce aux sessions de formation. J'ai appris à améliorer ma production agricole, et aujourd'hui mon potager se porte très bien".

Rendre des veuves du genocide autonomes

Découvrez l'histoire de Victorine Mukabadenge, une survivante du génocide âgée de 67 ans qui vit dans le secteur de Gihago du district de Rutsiro.

Des légumes pour des revenus et une meilleure nutrition

"Je suis très fière et très heureuse d'avoir rejoint l’école d'agriculture de terrain (FFS). J'ai diversifié l'alimentation de la famille et je gagne de l'argent en vendant des légumes. L'argent que je gagne des ventes est vraiment conséquent. Avec ce revenu, j'ai le projet de me construire une nouvelle maison", déclare Geletie.

Rendre des veuves du génocide autonome

"Je suis très reconnaissante à AVEGA et SURF pour leur contribution à nos vies. Avant, nous étions assises à attendre que quelqu'un vienne nous aider et nous soutenir, mais les choses ont changé depuis que nous avons rejoint le projet et suivi une formation à l'entrepreneuriat qui a éveillé nos esprits," a déclaré Josephine.

Des formations professionelles

Gloria Nkhula commente : "Le programme de tutorat m'a beaucoup apporté en termes de compétences cliniques, de confiance, de prise de décision et de leadership".

Rendre des veuces du génocide autonomes

Découvrez l'histoire de Donatah Uwamariya, une veuve de 56 ans du secteur de Bwishyura dans le district de Karongi.

Les semences améliorées renforcent la sécurité alimentaire

"Chaque mois de juin, je m'inquiétais de ne pas avoir assez de nourriture. Maintenant, j'en ai assez pour tenir toute l'année. Je ne m'inquiète plus de ce que je vais manger en juin", a déclaré Yekuge.

Qui reçoit, donne !

Mr Kossivi Dokpoe a déclaré « pour moi, ces animaux sont comparables à un compte que je pourrais avoir en banque. Ils m'ont permis de soigner et nourrir ma famille ».

Rendre des familles victimes du génocide autonome

"Aujourd'hui, je peux dire que ma vie a changé depuis que j'ai rejoint ce projet. Je suis extrêmement heureux de ce que j'ai accompli depuis que nous avons commencé", explique Byukusenge Jean de Dieu.

Améliorer la qualité des soins

Milica Msumba a déclaré : "J'ai vraiment apprécié cette formation et j'ai pensé que c'était une excellente idée. Auparavant, je travaillais dans un établissement qui n'avait pas de maternité et j'ai traversé de nombreuses années sans aucune formation de remise à niveau. "

Rencontrez Kumbukeni et son bébé

Kumbukeni, 29 ans, du village de Malunga, avec son deuxième bébé qui est né quelques heures avant que cette photo ne soit prise.

Rencontrez Annie, Linda et leurs bébés

Annie et Linda ont souligné l'attention et le professionnalisme du personnel infirmier à leur égard.

Un accès à l'enseignement secondaire

Rencontrez Ami, une élève de collège soutenue par une bourse complète du Women's Global Education Project (WGEP) au Sénégal !  

L'histoire de Linda et Martha

Découvrez le parcours de Linda, qui est membre du comité d'entreprise de l'école communautaire de Siamucaala depuis mai 2021.